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AMOUR TROUBADOUR EN CHANTANT
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  • Quête de connaissances oubliées avec un esprit troubadour. Partage de contes poétiques et de poèmes-chants d'amour, illustrés de photos de nature, pour célébrer l'Amour, la vie et les troubadours.
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24 novembre 2008

Folklore: la lore du peuple VIII

LA VOIE DU MYTHE ET DU SYMBOLIQUE
A un autre niveau, sur la voie de l’initiation, nous pouvons apprendre à unifier nos différents cerveaux et modes de perception y compris symbolique, à retrouver la valeur de l’intuition, à cultiver le sentiment d’union avec les autres dans un partage sur les niveaux subtils de l’être.
Nous pouvons surtout renouer avec le sacré, source de l’être et de la vie en nous, indépendamment de toute religion ou système de pensée. Ainsi nos savoirs ne seront plus des accumulations vides de sens servant le plus souvent à exploiter ou à exclure les autres, mais des étapes de connaissance qui en nous transformant au fur et mesure nous permettront de devenir chaque jour davantage ce que nous sommes potentiellement, des êtres en cours de Réalisation.

ACTEUR ET PASSEUR DE VIE
Loin d’être un passe-temps inutile ou démodé, la quête de nos traditions, de nos mythes fondateurs de civilisation et surtout le travail intérieur de notre représentation du monde est un acte fondamental de notre ORIENTATION globale, par rapport à nous-mêmes, aux autres, au monde qui nous entoure, à notre place sur le fil du temps aussi bien passé que présent.
C’est retrouver et cultiver l’art de « conspirer » au sens de respirer ensemble pour évoluer avec tout ce qui est vivant sur notre planète dans le respect ou l’ouverture. C’est aussi mettre en pratique cette maxime fondatrice de la vraie dimension de notre humanité et inscrite sur le fronton du temple antique de Delphes comme un repère défiant le temps et les civilisations : «Connais-toi toi-même et tu connaîtras le monde et les dieux».

N’oublions pas que cette capacité à créer du mythe, des histoires et des liens entre les situations, les êtres ou les choses est intimement liée au mode de fonctionnement du cerveau humain. Cette faculté créatrice et imaginative a probablement permis à l’espèce humaine de s’adapter et de survivre malgré les aléas parfois terribles (climatiques en particulier avec leurs cohortes de famine et d'épidémies) et les contraintes de civilisation (guerres meurtrières entre peuples au cours du temps, luttes de pouvoir, faible durée de vie). Elle donne sens à la vie de l’individu et du groupe en lui redonnant une dimension de participation active. Elle favorise l’espoir envers et contre tout, pour l’humain même confronté au pire et surtout lui permet de garder sa cohérence intérieure (de rester «entier») à la mesure de son travail d’intégration consciente de la représentation interne du monde où il vit.

Cette faculté a tisser des liens entre les événements et les êtres, à se raconter des histoires, si importante pour la survie de l'espèce est aussi liée à cette tendance profondément inscrite dans notre programme de survie: nous recherchons les faits divers, les petites histoires dramatiques ou croustillantes, hors normes en tout cas chez nos voisins, nos relations et actuellement par le biais d'une presse émotionnelle dite "people" au succès sans précédent, chez les personnes publiques.

Elle favorise notre tendance à rentrer dans les normes ou à s'adapter à l'évolution des normes d'une société. Mais elle nous pousse aussi à valoriser le pire, à ne privilégier que les mauvaises nouvelles et autant elle peut être utile dans un environnement hostile pour se prémunir de dangers réels, autant elle peut se retourner contre nous dans nos sociétés occidentales en faisant de nous des êtres avides d'événements vides de sens qui ne nous concernent pas et sur lesquels nous sommes impuissants. Cela entretient une dépression latente qui fait de nous la proie de marchands d'illusion et de prêt-à-penser moralisants et obsédés de sécurité pour les pauvres "victimes" que nous devenons si nous nous laissons aller à ces tendances.

Pourtant nous pouvons utiliser ces mêmes facultés pour favoriser notre évolution, en particulier en accédant à la dimension spirituelle, par l'accès aux Grandes Histoires de l'humanité: en réapprenant à "mythologiser" nos histoires pour leur donner une dimension verticale transcendante en plus de l'horizontale événementielle qui nous est de toute façon imposée.

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23 novembre 2008

Folklore: la lore du peuple VII

TRANSCENDANCE ET RAISON
De façon très concrète, le sacré est « ce qui prend aux tripes » et appartient à une dimension invisible qui par la médiation de lieux, d’objets, de symboles ou de certaines personnes se manifeste à l’homme.
Cette fonction « transcendante » est plus ou moins accessible aux humains. D’un extrême à l’autre on trouve les rationnels, logiques qui n’ont pour référence que ce qu’ils peuvent appréhender concrètement de la réalité dans une vision principalement matérialiste… ce qui s’accompagne souvent d’une représentation désespérante du monde et  d’un scepticisme critique en perte de sens. C’est la vision majoritaire dans notre société privilégiant sécurité à tout prix, production, profit, compétition et rentabilité.
A l’autre extrême, se situent les mystiques ou animistes qui voient en toute chose, tout événement, un sens caché, une présence divine ou spirituelle avec le risque d’élaborer des attitudes superstitieuses et des tentations pour la magie afin de tenter d’interagir avec cette dimension mystérieuse qui semble diriger la vie. Cette dernière attitude était majoritaire dans les populations rurales européennes avant la période moderne, cela s’accompagnait de rites plus ou moins païens progressivement christianisés, de recours aux sorcières et aux jeteurs de sort… avec en réaction la chasse aux sorcières !

INTERÊT POUR NOTRE EPOQUE ET NOTRE VIE ACTUELLE
Nous sommes toujours influencés par ce système de représentation du monde, il survit dans notre cerveau archaïque qui fait aussi partie de nos cerveaux modernes!
Nous sommes toujours en quête de sens et nous avons besoin du contact avec la nature, la vie sous toutes ses formes et manifestations. Nous avons aussi besoin d’élaborer notre propre représentation du monde pour y vivre au mieux et nous y adapter en y trouvant notre place et notre rôle propre.
Retrouver nos racines mythiques permet de réhumaniser notre monde, de définir des valeurs et des croyances qui nous permettent de vivre en harmonie, fondement d’une attitude écologique devenue le mot d’ordre parfois menaçant de notre époque! C’est aussi devenir conscient de notre relation avec les autres et de nos responsabilités même dans nos actes quotidiens ou nos choix de vie. C’est par ailleurs nous relier à une source inépuisable de créativité et d’envie de vivre.

22 novembre 2008

Folklore: la lore du peuple VI

LE MYTHE ET LE SACRÉ
En remontant aux racines du folklore, au-delà même des mythes, nous rencontrons finalement le sacré. La conception du sacré est étroitement liée aux capacités cérébrales de l’homme. Ses facultés d’abstraction lui permettent de percevoir des notions complexes sur lui-même, son environnement et son orientation dans le temps ou l’espace. En permanence l’homme observe, analyse, classe  les données de ses observations afin de maîtriser son environnement, d’organiser son monde au mieux de ses intérêts.

QUÊTE DE SENS
L’homme a besoin pour se développer et bien utiliser ses capacités d’avoir une représentation globale de son monde et de sa place aussi bien dans le temps (histoire personnelle et surtout familiale, mais aussi histoire de la création du monde plus ou moins mythique) que dans l’espace (son territoire, son espace familier, le monde environnant).
L’homme est spontanément en quête de sens aussi bien pour les événements de la vie que pour ses faits et gestes, ce qui lui permet de concevoir l’ensemble de ses perceptions de façon cohérente en fonction de lui-même ou de son groupe.

21 novembre 2008

Folklore: la lore du peuple V

TEMPS, SAVOIR ET POUVOIR
Depuis l’Antiquité, le savoir en général et lié au temps en particulier a été l’enjeu du pouvoir le plus souvent religieux, puis politique dans la période moderne. Pensons aux concurrences des hauteurs chargées entre autres de rythmer la vie des bourgs: les clochers d’église et les beffrois communaux (dans les communes libres à partir du XI°) équipés de cloches puis d’horloges.
Le savoir officiel était imposé par l’Eglise, parfois sous peine de mort*, il était fixé et détenu par les puissants même s’il était fondé sur des données erronées (terre plate au centre de l’Univers, décalage du calendrier de 10 jours imposant la réforme grégorienne en Europe au XVI° siècle, désynchronisation du lever de Sirius et des crues du Nil en Egypte…). Mais en parallèle s’est développé un savoir lié à des observations le plus souvent locales ou loco-régionnales transmises secrètement pour éviter les condamnations de l’Eglise officielle.

(*Pour avoir repris les thèses de Copernic, Giordano Bruno meurt sur le bûcher, Galilée est condamné : pour l’Eglise au XVII° siècle, l’héliocentrisme – la terre tourne autour du soleil et n’est donc pas le centre immobile de l’univers - est inacceptable.)

20 novembre 2008

Folklore: la lore du peuple IV

LA VIE TRADITIONNELLE
Pour retrouver les racines du folklore, objet de notre réflexion de départ, il nous faut retrouver le contexte culturel dans lequel il s’est élaboré.
Autrefois, les hommes vivaient en contact étroit avec la terre, ils chassaient, pêchaient, cueillaient (au Paléolithique) avant de travailler le sol pour en tirer leur subsistance ou élever leur bétail (Néolithique). Or ces activités sont fortement dépendantes des saisons, du territoire et des aléas climatiques.

SAVOIR ET TEMPS
Tout un savoir sur ces données s’est élaboré génération après génération en parallèle avec une perception du sacré liée à une conception du temps cyclique (retour fixe des mêmes fêtes et activités saisonnières) et non linéaire (enchaînement d’activités sans lien ni sens particulier comme dans la course moderne au temps par exemple).

RITES ET SAVOIRS
Les rites rythmaient la vie en se répétant régulièrement avec des temps forts d’entrée dans les saisons principales, ils favorisaient la transmission de savoirs concernant les activités traditionnelles le plus souvent en s’appuyant sur les mythes et les religions. Ce savoir concernait de nombreux domaines selon les besoins du groupe d’appartenance : culture, élevage, flore, faune, médecine, maturité sexuelle et fertilité, règles de vie et de rapports hiérarchiques ou entre les sexes, histoire et généalogie, astronomie, géographie, orientation, contruction, météorologie, géométrie, arithmétique…
La mémoire était fondamentale en l’absence d’écrit et tout ce qui pouvait lui servir de support était utilisé (récits, spectacles, danses, symboles, contes, repères géographiques ou construits…).
Tout comme les aèdes grecs (ex Homère), les bardes formés par les druides apprenaient par cœur des vers au rythme particulier véhiculant de nombreuses connaissances cachées sous l’apparence de contes, d’histoires ou d’épopées.  Plus tard les troubadours prenaient le relais, ils masquaient eux aussi leur savoir sous des aspects plus ou moins anecdotiques ou poétiques, à la fois pour préserver les secrets et se protéger des instances dangereuses (Inquisition de l’Eglise).

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19 novembre 2008

Folklore: la lore du peuple III

MISE EN SCENE COSMIQUE
Le rituel initiatique – la mise en condition amenant le changement d’état de conscience et donc de statut dans la société - fait référence en général à un mythe fondateur expliquant le monde depuis sa création et relie l’initié à un groupe, dans un temps et un système de référence immémorial paraissant immuable. Ce processus offre une vision du monde cohérente et stable à l’initié, donne un sens à la vie en général et à sa propre vie intégrée à la fois au groupe et au monde sous tous ses aspects visibles et invisibles.

L’ENJEU DE LA VIE
Mais ne rêvons pas, dans les sociétés traditionnelles où elle se pratiquait, l’initiation en elle-même n’était pas une partie de plaisir (mutilation, sévices corporels, exposition aux fauves et aux dangers naturels…) et engageait souvent la vie au sens propre du terme. L’intensité de ce qui se vivait préparait des chasseurs-guerriers ou des mères-épouses prêtes à vivre la réalité d’une vie très difficile et cruelle en sacrifiant leur vie au groupe et à la survie de l’espèce, de façon quasi-instinctuelles.

L’ENSEIGNEMENT TRADITIONNEL ET SECRET
Nous voyons que ce qui survit dans le folklore au travers principalement des écrits fixés au XIX° n’est que le sommet de l’iceberg de la somme des connaissances auxquelles l’homme traditionnel pouvait accéder. Mais attention, c’est du même ordre dans le domaine du savoir actuel : des pans immenses de savoirs sont accessibles, bien peu s’y intéressent et encore moins ont les capacités nécessaires pour y accéder.
Nous avons vu qu’un engagement vital absolu était requis pour recevoir certaines connaissances et renaître avec. Nous savons par ailleurs que des connaissances secrètes concernant les capacités cérébrales de l’humain en lien avec les structures de l’univers étaient réservées à un tout petit nombre (prêtres, chamans, savants alchimistes ou philosophes…). Dans toutes les sociétés secrètes ou religieuses, cette transmission particulière « initiatique » s’est effectuée sous le sceau du secret quant aux rituels impliqués. Cela correspond aux courants gnostiques (de Gnose : connaissance en grec) et aux connaissances ésotériques.

L’ésotérisme n’est donc pas « inaccessible » et rigoureusement secret. Mais il nécessite une implication totale de l’être et des capacités particulières pour en comprendre le sens « de l’intérieur ». Une transformation de l’être dans ses croyances, sa façon d’être au monde et de penser est nécessaire pour accéder à la connaissance intérieure. L’intégration de cette connaissance transforme alors l’être à un autre niveau, le faisant ainsi renaître différent.

15 novembre 2008

Folklore : la lore du peuple II

LE MONDE SELON LE FOLKLORE
Le folklore semble être la survivance de rituels exprimant des croyances et plus ou moins des connaissances parfois transmises par «initiation» - voir plus loin - dont le sens s’est perdu puisque le système de représentation du monde dans lequel ces traditions s’exprimaient a profondément changé et se rattache plus aux conditions de vie de type néolithique (ce qui était le cas de la grande majorité des humains jusqu’à la moitié du XX° siècle) qu’au confort de la vie moderne. Le flolklore est donc l’évolution en bout de course, à bout de souffle, jusqu’à la caricature absurde parfois, de ces croyances traditionnelles coupées de la source vivifiante de leur mythe de référence.
Nous repérons d’ores et déjà plusieurs termes liés au folklore, sur lesquels nous allons revenir avant d’aller plus loin : savoir, connaissance, initiation.

SAVOIR ou savourer le sel de sagesse
Savoir vient du latin sapere, verbe qui signifie littéralement posséder une saveur au sens gustatif du terme. Le mot a d’abord évolué sous une forme évoquant de façon imagée la personne possédant cette saveur de sagesse associée au savoir dans l’Antiquité. Vous avouerez que cela ne manque pas de sel, symbole lui aussi de sagesse et d’esprit!
De façon plus conventionnelle, le savoir évoque un ensemble de données objectives disponibles indépendamment de l’humain qui les possède.

CONNAÎTRE ou naître au long cours
Connaître signifie littéralement naître avec (conoistre au XI° siècle : co – naître), le savoir intégré transforme la personne en changeant ses représentations et ses capacités de penser, d’agir. C’est la base de l’apprentissage pendant lequel « le métier rentre dans le corps ».

ENTRER DANS LA DANSE
L’initiation (de initiatio en latin, début ou commencement) désigne un événement ou un rite d’entrée, de passage permettant au postulant qui est prêt à la vivre dans tout son être (dans un état de transe, - c’est-à-dire de modification de conscience - le plus souvent) d’accéder à un niveau de conscience supérieur. Ce nouvel état modifie sa vision du monde et l’introduit dans un groupe particulier en lui transmettant des connaissances qui lui donnent une place au sein du groupe. L’initiation permet selon les étapes franchies, d’être ou de devenir, un membre actif et efficace de la société.

8 novembre 2008

Folklore : la Lore du peuple

VOUS AVEZ DIT POPULAIRE ?
Il faut se rendre à l’évidence, ce terme de folklore est bien souvent dévalorisé et on lui attribue facilement le sens péjoratif de « populaire », même si ces dernières années des initiatives ont redonné un peu de noblesse à des fêtes traditionnelles qui rassemblent souvent beaucoup de personnes autour d’une forme particulière de culture.
Les anciens disent que l’origine de certaines de ces fêtes se perd dans la nuit des temps, autant dire qu’on n’en sait pas grand chose et que sous des processions, des rituels aux aspects grotesques ou même ridicules, le sens originel est si bien caché qu’il est souvent perdu même pour les organisateurs et acteurs!
Il reste l’occasion de «faire la fête» qui se termine parfois en beuveries plus ou moins mémorables peu propices à redorer le blason de la tradition, mais qui sont toujours socialement valorisées à défaut d’être valorisantes pour ceux qui s’y abandonnent.


SAVOIR FOLKLORIQUE
Pourtant si nous faisons l’effort de ne pas rester à ce niveau «petite tête et gueule de bois», cela peut devenir intéressant. Allons d’abord faire un tour du côté de l’étymologie. Le mot Folklore est un mot composite : Folk et Lore, forgé fin XIX° siècle en Angleterre.
Folk, c’est le peuple.
Lore dérive du verbe anglais to learn: apprendre et signifie science, savoir ou connaissance.
La LORE désigne ainsi la Science Traditionnelle

Le folklore au sens noble du terme correspond au savoir traditionnel - d’un groupe humain le plus souvent local ou régional - qui se transmettait oralement d’une génération à l’autre. Ce savoir concernait aussi bien des tours de métier en milieu rural ou artisanal, des connaissances rituelles, astronomiques, géographiques, calendaires, agricoles, végétales ou animales.... Son expression utilisait des contes, des fêtes rituelles, des danses ou processions traditionnelles.

LE COIN DU FOLKLORISTE
Les spécialistes du folklore sont apparus dès le XIX° siècle, dévalorisés eux aussi tout comme leur sujet, par la culture officielle. Ils ont commencé à s’intéresser au patrimoine traditionnel lorsqu’il était déjà en déclin. Il faut dire qu’auparavant, il était intégré à notre culture occidentale rurale d’une façon si évidente que nul « savant » n’y accordait de valeur propre. Mais les conditions de vie ont profondément évolué avec l’industrialisation et la valorisation du mode de vie urbain.
Ce savoir oral qui n’était plus adapté à l’époque disparaissait avec les vieux qui le détenaient encore en droite ligne de leurs ancêtres par une transmission orale continue depuis des millénaires. Il fallait donc le recueillir et le figer dans l’écrit au risque de le dénaturer avant qu’il ne soit totalement perdu.
Merci à eux de ce bel effort malgré les limites liées aux difficultés du genre, le passage de l’oral si vivant, en constante évolution sur des bases traditionnelles pour s’adapter à l’art de conter et surtout à l’auditoire risque fort de perdre sa saveur propre dans l’écrit, d’autant plus si sa forme est travaillée pour être mise au goût de l’époque.

7 novembre 2008

Sur le chemin de Lore: de Lorre aux Laures : Catégories

EN CLIQUANT sur le mot-clé, vous irez sur la page de blog contenant le thème (Il y a dix billets par page).

FOLKLORE : LA LORE DU PEUPLE : 8 Novembre 2008

HISTOIRE DE LOUTRE, LORRE DE RIVIERE : 6 Avril 2010

LES CHANTS DE LORE, LORELEY : 7 Mai 2010

                       Les Lais de Lore, chants de connaissance

                       Lais de Lore, ciel et Runes

MERLIN, BROCELIANDE ET LE GRAAL

 

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