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AMOUR TROUBADOUR EN CHANTANT
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  • Quête de connaissances oubliées avec un esprit troubadour. Partage de contes poétiques et de poèmes-chants d'amour, illustrés de photos de nature, pour célébrer l'Amour, la vie et les troubadours.
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23 octobre 2012

Merlin... IV, Résumé des découvertes faites à Tréhorenteuc

Avant de poursuivre sur la piste de Merlin, nous devons faire le point. Grâce à la rencontre des Questeurs de Brocéliande facilitée par Fernand, j'ai exploré de nombreuses données traditionnelles dont voici un résumé. Pour l'intégralité, suivre les messages du tag Tréhorenteuc ici.

Du Zodiaque au chemin de croix (sur ce blog ici)
Dans toutes les civilisations antiques et en Europe au Moyen-âge ou à la Renaissance, le zodiaque était une figure centrale de la transmission du savoir.
Le zodiaque représentait le temps cyclique, ses travaux saisonniers et ses fêtes traditionnelles. Avec le christianisme s'impose une lecture du temps focalisée sur l'histoire de Jésus, Dieu fait homme. Il apparaît au centre du zodiaque en particulier au tympan des églises romanes. Puis il en sort, il est dissocié du cosmos et peu à peu le chemin de croix centré sur sa Passion (sa mort et résurrection) - donc un événement certes fondamental pour les chrétiens, mais très court dans le temps- devient l'élément incontournable de la décoration intérieure des églises.

Géographie sacrée à Tréhorenteuc (sur ce blog ici)
Localement on dit que ce nom de Tréhorenteuc signifierait Trois chemins ou Trois voies.
Tréhorenteuc pourrait être le peuple des trois orients. Oran(t) ou orent pour les prières dans les trois directions de l'orient déterminant le parcours du soleil, les deux solstices et l'axe des équinoxes.
Vishnou est un dieu solaire en Inde, ses trois pas évoquent aussi la répartition de l'année en deux tiers clairs et un tiers sombre, (l'hiver). Et le même symbolisme existait chez les celtes qui étaient de culture indo-européenne.
Si l'on situe le németon (temple astronomique des gaulois, dans les bois) vers Néant, nous avons une butte Saint-Michel d'une centaine de mètres, lieu d'observation idéal vers l'est. A partir de ce lieu, Tréhorenteuc est alors sur la ligne des équinoxes (comme nous l'a indiqué Sainte Onenne et la déesse celtique de l'équinoxe la précédant, Onionna).
La ligne du solstice d'été se dirige vers la Butte aux Tombes (146 m) près du Pertuis Néanti et se prolonge jusqu'à la fontaine de Barenton, (autrefois Belenton, évoquant le dieu solaire Bélénos christianisé en Saint Jean).
La ligne du solstice d'hiver se dirige vers les hauteurs du Val sans Retour, donc vers le siège de Merlin et se prolonge vers la Butte de Tiot (190 m) près de Saint-Jean, sa chapelle et sa fontaine.

Temps du dieu à l'église de Tréhorenteuc (sur ce blog ici)
Dans l'église de Tréhorenteuc à l'orientation très particulière, Merlin apparut juste le temps de me faire expérimenter le "temps du dieu" en "trois pas" et me faire découvrir une figure sacrée en rapport avec les vitraux de la vie de Sainte Onenne et le monogramme de la Vierge.
J'ai parcouru cette figure (AM ou AVM) comme un labyrinthe, avec Fernand, le corps changeant d'orientation à plusieurs reprises sur le parcours de ces figures! Cela me sembla une façon d'augmenter mon énergie, de m'accorder à celle du lieu et d'induire une forme de transe permettant l'accès à d'autres réalités subtiles ou spirituelles.
Pour l'évoquer voici quelques mots extraits des Upanishads, texte sacré originaire de l'Inde:
"Aussi vaste que l'espace qu'embrasse notre regard est cet espace à l'intérieur de notre coeur. L'un et l'autre, le ciel et la terre y sont réunis, le feu et l'air, le soleil et la lune. Tout cela y est réuni."

A ce que Merlin avait nommé les trois pas, les grecs donnaient des noms de dieux pour les perceptions des temps différents:
Chronos pour le temps chronologique, celui dans lequel nous vivons le plus souvent et qui nous dévore. (Chronos est représenté dévorant ses enfants).
Aïon pour le temps cyclique (souvent représenté avec un serpent).
Kaïros pour le temps du dieu fugace (il porte des ailes aux talons) qu'il faut savoir saisir lorsqu'il se présente, un moment plus tard ou plus tôt et il n'est plus là! C'est un instant d'éternité qui s'ouvre dans notre vie. C'est aussi un moment où se manifeste la synchronicité.
J'avais perçu une figure qui s'apparentait à un carré de trois (ou carré de fondation), un ennéagramme ou un octogramme centré (figure davantage celtique ou templière), mais peu importait le nom, l'essentiel était d'expérimenter l'énergie du lieu par mes allées et venues dans cet espace.

Symbolisme du Zodiaque et du Chemin de Croix (sur ce blog ici)
Grâce à l'aide des Questeurs, je suis partie sur les traces laissées par l'abbé Gillard. Cela nous a permis de renouer le lien entre le symbolisme du zodiaque et celui du Chemin de Croix dont j'ai perçu l'aspect "chemin de Vie", à l'opposé de ce que j'en avais compris jusqu'à présent.
L'écriture - au sens large de représentation - idéographique suppose un mode de vision traditionnel: l'être humain mis en état de réceptivité sensorielle découvre le niveau de Connaissance (par la compréhension symbolique) que lui permettent ses capacités présentes. Le symbole offre en effet différents niveaux de lecture selon l'évolution intérieure de la personne. C'est l'apport de la Tradition, Lore ou Lorre d'autrefois.
Au contraire, notre vision moderne est basée sur le cartésianisme exclusif (l'homme accède au savoir par la raison).
Le Christ a dit "Je suis le Chemin, la Vérité, la Vie", j'ai vu ces trois termes éclairant le parcours de la Passion, Chemin de l'Arbre de Vie. En effet, le Chemin de Croix ainsi relié à la Tradition ancienne dont parlait l'Abbé Gillard, n'est pas un chemin de mort, c'est un chemin de remontée dans les sphères d'énergie de l'Arbre de vie, l'Arbre des dix sephiroth.
Les neuf sephiroth restaurées sont comme des degrés descendus par la Présence divine qui va s'établir en Malkuth en tant que Shekina (c'est le terme pour Présence divine). Malkuth est le niveau le plus bas de l'Arbre, celui où l'on rend l'âme, mais avec la Shekinah le plus bas devient comme le plus élevé, Malkuth devient le Royaume!
Selon René Guénon, la Shekinah est la synthèse des Sephiroth.
Le Christ mort (muté) et ressuscité peut être assimilé à la Présence divine manifestée pour l'humanité.

Géographie du Chemin de Croix de l'Abbé Gillard dans la Chapelle du Graal et les Monogrammes (Sainte Onenne, Vierge Marie, Sainte Famille, Christ) (sur ce blog ici)
J'ai aussi découvert que son Chemin de Croix formait en projection sur le sol de Brocéliande une figure particulière et les Questeurs m'ont aidé à y voir un Chrisme, ou Monogramme du Christ!
Les deux Monogrammes, du Christ et de la Vierge se sont superposés, après la visualisation du  Monogramme d'Onenne. Nous avons fait un petit saut dans le temps pour remonter jusqu'aux Voeux de Salut et de Santé pythagoriciens avant d'explorer l'histoire et le sens du Chrisme de nos églises, donné par les Runes de son origine qui sont reliées à la représentation du cosmos.

Ave Maria (AM ou AVM), c'était le salut de l'Ange à Marie en tant que future mère du Christ, du VERBE (Logos). C'est l'Annonciation, l'annonce de la naissance à venir. C'est lors de l'équinoxe de printemps la promesse du solstice d'hiver où naît le nouveau soleil, la LUMIÈRE.

Ave Maria correspond en grec à la formule "Réjouis-toi" Marie. Réjouis-toi s'écrit XAIPE en grec (et se prononce caïré). Xaipo signifie "être en bonne santé". Voeu de Salut pythagoricien, Xaipe est en fait un Salut, salut à la Lumière matinale.
C'est un voeu de retour à la lumière naissante assimilée à la "renaissance", c'est donc au figuré un voeu de Salut au sens de "se sauver", être sauvé, (les pythagoriciens croyaient en une forme de réincarnation).
A noter que notre salut, ce banal bonjour auquel personne ne prête attention est du même ordre : c'est saluer en chaque personne la Lumière de ce jour nouveau qui nous est donné ici et maintenant et lui offrir un voeu de salut (de l'âme et ... du corps).

Graphiquement, les lettres superposées de Xaipo ressemblent à un chrisme! Cela n'a rien d'étonnant puisque le chrisme est un symbole associé à la Lumière (du soleil en particulier) avant d'être attribué à Constantin (le Labarum) puis au Christ. On sait que le Labarum était gravé sur les boucliers des soldats, comme un talisman pour leur salut, on comprend pourquoi!
Avant le Christ, le Chrisme était considéré comme le symbole de Chrestos, χρηστός signifiant "de bon augure".
Les monogrammes ou symboles du Christ (christogrammes) sont principalement le Chrisme et le poisson, Ichtus (IXOYE en grec où le E représente un sigma (s) majuscule)) parfois associés dans leurs représentations.
Nous avons établi un lien entre la tradition nordique ou germanique des runes et la tradition bretonne médiévale: l'alphabet runique était utilisé en même temps que l'alphabet latin par les anglo-saxons (bretons et germains) jusqu'au XI° siècle.

Sous cet angle, que dire alors du Chrisme complet, X, P ou R, Alpha, Omega? (sur ce blog ici)
Sur le Chrisme chrétien, le A ou Alpha évoquait la rune Algiz. Pour le Omega, c'était l'Irminsul, pilier cosmique runique inversé. Traditionnellement ces deux éléments sont effectivement associés. Ce type de chrisme présenterait le symbole du sommet de l'arbre du Monde et de l'axe du monde, éléments fixes du cosmos.
X est la rune Gebo, le Don des dieux; P est la rune de Joie; R est Raido, la Rune du voyage; S ressemble à Eihwaz ou Iwaz, la rune de l'If, l'Arbre sacré de vie et de mort, parfois appelée rune de l'Irminsul en tant que pied de l’Arbre du Monde qui est la représentation du Cosmos et l'abri de toute la création.

Certaines représentations de Chrisme correspondent à la représentation du ciel centrée sur la Rune Gebo à une période particulière de l'année: l'équinoxe d'automne en début de nuit et pour une latitude plus au nord. L'étoile polaire était alors proche de la constellation du Cygne (aussi nommée Croix du Nord) au Néolithique, d'où sa schématisation en position centrale sous l'aspect de Gebo.

Chrisme en tant que cosmogramme
Les Chrismes sont des symboles sacrés préexistant au christianisme, ce sont des témoignages de l'ordre cosmique au regard de l'éternité. Ils sont composés de runes liées et en tant que tels ils étaient utilisés comme des talismans, puissants remèdes à la confusion de l'homme perdu dans l'absurdité apparente des événements qui se déroulent dans le temps. Ils sont des images du Cosmos dans sa totalité, (cosmogrammes).
La figure du Christ qui s'est superposée à ces figures correspond tout à fait à cette notion de repère universel, promesse de vie éternelle et de Salut, mis à la portée de chaque humain initié ou non.

Retour à l'Origine (sur ce blog ici)
Nous avons émis une hypothèse concernant le choix de cette période correspondant à ce cosmogramme particulier du Chrisme: Les hommes gardent le souvenir du temps d'avant les grands bouleversements (disparition de leur gibier habituel, terres et habitats submergés, réchauffement avec modification des végétaux permettant certes une augmentation du nombre d'hommes, mais aussi en conséquence la survenue de nouveaux problèmes et de conflits...). Ce temps serait identifié à un âge d'or mis en rapport avec l'étoile polaire -le Clou qui fixe l'ensemble du cosmos, c'est-à-dire l'ordre du monde- repérée dans le Cygne.
Au fur et à mesure des siècles, les hommes découvrent que les changements d'étoile polaire répondent à des cycles, d'environ 26000 ans, d'où cette idée que lorsque la même image du ciel reviendra, l'Age d'or reviendra aussi.

Runes et culture traditionnelle (sur ce blog ici)
Dans la tradition nordique puis germanique, les runes étaient utilisées comme intermédiaire avec les dieux et sous forme liée elles composaient des talismans, moyen de s'assurer la faveur des dieux.
Les deux runes, Gebo et Raido, représentent d'une part (Gebo) le centre du ciel ou pôle, le point fixe de référence (Constellation du Cygne) et d'autre part (Raido) la constellation la plus repérable qui tourne inlassablement (le Chariot).

Sur le chrisme le plus simple, nous avons donc une représentation globale du grand Moulin cosmique qui pouvait se décliner aussi bien sous sa version polaire, (avec les constellations du pôle céleste), que solaire (X étant la représentation des lignes de visée solsticiales qui se resserrent avec la latitude jusqu'à devenir comme un I au pôle Nord).
Par ailleurs tout cela était contenu dans un cercle, symbole de totalité, du dieu (ou de la déesse selon les époques) suprême créateur de l'Univers dans son ensemble.

Le chrisme était une représentation du Monde et même du Centre du Monde. Ce symbole d'Ordre supérieur représentant le divin pouvait donc effectivement être considéré comme le talisman le plus puissant pour les guerriers. Ainsi ils avaient le ciel avec eux: dans la vie ils avaient l'assurance de la Protection et de la Victoire; dans la mort, ils détenaient un passeport pour la Vie éternelle. Le Chrisme était la Porte du Ciel, la Porte du Salut au sens du Salut pythagoricien, Xaipe.
La même notion est associée à Jésus-Christ, à qui est attribué le Chrisme chrétien en tant que symbole sacré de son nom. Il a dit "Je suis la porte" (Jean 10) et pour les chrétiens, il est la Porte du Salut. La Porte vers l'Eternité en Dieu.

Le Chrisme, Centre du Monde, est aussi Porte d'Eternité. (sur ce blog ici)
Du code runique au code de la Chevalerie
Les runes, qui forment l'alphabet nordique nommé Futhark du nom des six premières runes, sont une référence à l'ordre cosmique et plus encore lorsqu'elles sont liées entre elles. Elles sont aussi un repère de vie, une sorte de code, grâce auquel l'humain qui s'y conforme se relie aux dieux qu'elles représentent.
Pour l'homme nordique il s'agissait de se mettre en ordre lui-même, en harmonie avec cet Ordre céleste figuré par les concepts sacrés des "lettres" runiques.
Pensons de même au Labaron Gaulois associé à la croix de Taranis (sous forme d'une croix dite de Saint-André). Le symbole fait de runes liées qui deviendra le Chrisme chrétien est le plus important symbole de cet accord du ciel avec soi en toute circonstance, dans la vie comme dans la mort.
Il découle de cette conception nordique une forme de code d'honneur de type "chevaleresque", code qui se retrouvera secondairement en contexte chrétien avec la Chevalerie du Moyen-âge centrée sur la quête du Graal.

L'ordre du Temple et la Croix des Béatitudes
Et au bout de cette même voie d'un symbole du Tout incluant comme nous l'avons vu le temps, l'espace, la religion, un code de vie et de connaissances, les formes abstraites d'un alphabet, nous trouvions les chevaliers de l'Ordre du Temple. Ils bénéficiaient des apports de la chrétienté, des connaissances secrètes sauvegardées de l'Antiquité par les arabes et des rituels magiques, talismaniques.
En tant que référence cosmique et donc au Dieu créateur de l'Univers, la croix de Malte qui leur est associée symbolise la Protection la plus puissante conférée par Dieu en tout point de l'espace et en tout temps. Aussi nommée Croix des béatitudes, elle est donc associée aux huit béatitudes évangéliques qui sont le code de l'idéal chrétien fondé sur l'Amour, la compassion, l'humilité, la clémence (capacité à pardonner)*.
Dans l'intitulé de chaque béatitude on retrouve le terme « béni » ou « heureux » en français, mais en fait le terme grec évoque la Joie au sens sacré, divin du terme! La Joie au Moyen-âge était aussi un concept plus fort que dans son acception moderne, elle était évoquée en particulier dans le cri de guerre "Monjoie Saint-Denis" et bien sûr par les troubadours (la Gioïa)
* Amour, Humilité et Pardon sont les bases fondamentales de pratiques spirituelles et des approches plus modernes pour "une vie heureuse"!

Avec la croix de Malte, on a les mêmes concepts imbriqués (géométrie, alphabet codé,…) que dans le modèle nordique runique, puis sur le Chrisme qui apparaît aussi fréquemment sur les bâtiments templiers (comme dans toute la chrétienté), mais que nous ne savons plus regarder plus selon cet aspect transcendant et … global.

 

 

 

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22 octobre 2012

Merlin... IV, 7° étape : Le cercle des lieux associés aux personnages de légende

Voici de nouveau la carte des lieux légendaires de Brocéliande:

carte-bro-balz

Lieux légendaires de Brocéliande (carte-bro-balz)

Voici les principaux personnages associés à ces lieux, et quelques légendes s'y rapportant.

Plélan-le-Grand, Le Gué de Plélan (sur ce blog ici)
Légendes du Gué (1): les gués étaient des lieux stratégiques pour nos ancêtres, lieux de combat où l'archéologie a confirmé l'existence de combats "dans l'eau" du passage.
Le lit de Morrigane et du Dagda
Les trois exploits de Lancelot
Les lavandières (2), fées de l'autre monde, dangereuses séductrices ou annonçant la mort.

(1) lecheminsouslesbuis
(2) wikipédia

Pont du secret (sur ce blog ici)
Lancelot déclare son amour à Guenièvre

Trécesson
La jeune mariée fantôme ou Dame blanche du Château de Trécesson (3).

Hostié de Viviane et Val sans retour ensorcelé par Morgane (sur ce blog ici)
Morgane trahie par son amoureux, soumet les chevaliers du roi Arthur à ses sortilèges dans le Val sans retour.
Lancelot lui-même y sera retenu captif quelques années avant de tous les libérer.

Tréhorenteuc (sur ce blog ici)
La chapelle du Graal, haut lieu voulu par l'abbé Gillard, synthèse de l'esprit celtique breton, de l'imaginaire arthurien au service d'une vision profondément spirituelle du christianisme.

Pour les lieux suivants, voir sur ce blog ici.
Folle-Pensée : Merlin devenu fou errant dans les bois et guéri par la source et la nature, c'est aussi le lieu d'élection du peu orthodoxe Eon de l'Etoile, sorte de Robin des bois monastique et mystique du Moyen-âge.

Fontaine de Barenton
Yvain y combat le chevalier noir, époux de Laudine et l'épouse à son tour après son passage victorieux.
Merlin et Viviane s'y rencontrent pour la première fois dit-on alors qu'elle n'est qu'une toute jeune fille.
Ponthus et Sydoine. Ponthus, le chevalier venu de loin, après d'héroïques aventures épouse Sydoine, fille du seigneur local. Il fait construire tout près sur les hauteurs, un château maintenant ruiné, là où se trouve le chêne dit de "Ponthus".

Château de Comper et son étang
Le château de Viviane a été créé au fond du lac par Merlin, Lancelot y a été élevé par Viviane (et Merlin).

Tombeau de Merlin
Merlin y est-il enterré ou vit-il quelque part dans la forêt, dans l'Autre Monde où il est "enserré" par Viviane?

 

En cas de liens inactifs pour (1) et (3), voir ici.

Pour une carte des personnages de légende de Brocéliande, voir ici.

carte-personnages-broceliande-membres

carte-personnages-broceliande-membres.multimania.fr/pfv/legende.html

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